mardi 13 mars 2018

La Prensa fête les cinq ans de François à Rome [Actu]

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Le quotidien La Prensa a fait ce matin sa une sur le cinquième anniversaire de l'élection du Pape François.

Tous les quotidiens reviennent sur l'information aujourd'hui mais La Prensa est le seul à y consacrer sa première page.

Lisez dans La Prensa le témoignage du plus médiatique des curés de bidonvilles, chargé de cette mission par l'ancien archevêque de Buenos Aires (deuxième photo de la une ci-dessus). Il analyse le message pastoral de celui qu'il a connu comme évêque et qui est maintenant le Souverain Pontife.

Une du 14 mars 2018
La photo principale relève d'un fait divers
où police et voleurs ont échangé des coups de feu
L'un des policiers a succombé à ses blessures à l'hôpital
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Ajouts du 14 mars 2018 :
Dans un article, La Nación publie et commente le texte d'une lettre conjointe d'hommes et de femmes politiques de la majorité et de l'opposition unis (pour une fois) pour féliciter le Saint Père à l'occasion de cet anniversaire. Ces militants tutoient le pape en le remerciant chaleureusement pour toutes ses prises de position et en renouvelant l'expression de l'espoir du pays de le voir venir y faire une visite pastorale... Un miracle ! Reste à savoir s'il est petit ou grand.
Sur le même sujet, lire l'article de Clarín

Ajouts du 15 mars 2018 :
lire l'article de La Nación sur la genèse de cette lettre conjointe qui symboliserait la réconciliation politique en Argentine, cette réconciliation posée par François comme une condition sine qua non à sa visite à son pays natal
Sur le même sujet, à nouveau un article dans Clarín (les deux quotidiens se tiennent à la culotte)

Ajouts du 17 mars 2018 :
lire l'article de Clarín sur la réponse de François, qu'il a adressée au président de la Conférence épiscopale
lire l'article de La Nación sur cette même réponse
lire l'article de La Prensa

Ajout du 18 mars 2018 :
lire l'article de Página/12 sur ce sujet (le journaliste Washington Uranga continue à se mélanger les pinceaux, sans doute volontairement, sinon cela vaudrait dire qu'il est idiot, en qualifiant le président de la conférence épiscopale de "chef" des évêques, ce qui est une énorme erreur d'analyse, puisque le "chef" des évêques, c'est le pape d'un point de vue juridique et le Christ sur le plan spirituel, ce qui n'est pas négligeable)

Une de La Prensa du 18 mars 2018